D'argent à une aigle de gueules, au vol abaissé, membrée, becquée et couronnée d'or, empiétant une montagne de trois coupeaux de sable issant d'une mer d'azur mouvant de la pointe et ondée d'argent.

Avertissement
Plan du site

Prélude
Les circonstances
Les danses
Les instruments
fichier Midi de cet air de musique traditionnelle partition de l'air traditionnel
Musique du MIDI !
Les auteurs
Le cinéma
Bibliographie
Discographie

Glossaire musique
Histoire
Lexique
Les prénoms
Revue de presse
Téléchargement

Remerciements

Au fifre niçois - Les traditions musicales du comté de Nice (MTCN)Musique traditionnelle du comté de Nice
Li Baumeta dins A lou fifre nissart - Li tradicioun musicali de la countéa de Nissa (MTCN)
Li Baumeta in About fife from Nice - The musical traditions from County of Nice (MTCN)
 Vous êtes ici : Accueil > Musique du MIDI ! > Chants populaires > paroles Li Baumeta (Les Baumettes). Jeudi 25 avril 2024, saint Marc. 
Saint Marc mouillé au petit jour, c’est de la pluie pour tout le jour. 
 

Li Baumeta fichier Midi de cet air de musique traditionnelle partition de l'air traditionnel
(Les Baumettes)
Paroles niçoises (Bernard ?) Martin-Saytour. Traditionnel comté de Nice.

Les paroles françaises d’origine, versifiées par René d’Helbingue, ne sont pas reproduites ici. Le texte en français correspond à la traduction mot à mot de la version niçoise.

Description bucolique de la vie quotidienne dans le quartier des Baumettes (1). Ci-après, les 8 couplets les plus fréquemment publiés.

1er couplet        
À li Baumeta
Si respir’un bouon èr,
À li Baumeta
Noun li a jamai d’iver.
Trouvas palai, jardin,
Guingueta, de bouon vin.
De poulidi filheta
Filon sus lou camin
La coulougneta !
 Aux Baumettes
Se respire un bon air,
Aux Baumettes
Il n’y a jamais d’hiver.
Vous trouvez palais, jardins,
Guinguettes, du bon vin.
Des fillettes polies
Filent sur le chemin
La quenouillette !

2e couplet        
Au mes de Flora,
O sia en lou printèmp,
Au mes de Flora
Viron lou mai souvènt.
Caduna va sautà,
Caduna va ballà,
Deguna noun descouora ;
N’en vouolon profità,
Messié e nouòra.
 Au mois de Flore (2),
Ou soit dans le printemps,
Au mois de Flore
Ils tournent le mai souvent.
Chacune va sauter,
Chacune va danser,
Aucune ne se décourage ;
Ils veulent en profiter,
Messieurs (beaux-pères) et belles-filles.

3e couplet        
Aqui si trova
De pèu e de favoun ;
Aqui si trova
Toumetta e saucissoun.
E per pescà de pèi,
La mar es souta l’uèlh,
Au ban de Terra-Nova
Lu merlan soun tre bei,
Fes-n’en la prova.
 Ici on trouve
Des pois et des fèves ;
Ici on trouve
Fromage et saucisson.
Et pour pêcher du poisson,
La mer est sous les yeux,
Au banc de Terre-Neuve,
Les merlans sont très beaux,
Faites-en l’essai.

4e couplet        
Qu es que devina
Aquela qu’aimi iéu ?
Qu es que devina ?
Escoutas, lou vous diéu :
A de jupoun tout blanc,
Boutoun d’or au mitan,
Bourdura cremesina ;
Dei bouosc, de prat e camp
Es la regina.
 Qui est-ce qui devine
[Qui est] celle que j’aime ?
Qui est-ce qui devine ?
Écoutez, je vous le dis :
Elle a jupon tout blanc,
Bouton d’or au milieu,
Bordure cramoisie ;
Des bois, des prés et champs
Elle est la reine.

5e couplet        
Dès oura picon,
Fau virà lu taloun.
Dès oura picon,
Fau regagnà maioun.
Van trià lu couhin,
Li cìmia au traversin,
E se li niera piton,
Graton fin au matin
E mai noun quiton.
 Dix heures sonnent,
Il faut tourner les talons.
Dix heures sonnent,
Il faut regagner la maison.
Ils vont trier (chasser) les cousins (3),
Les punaises au traversin,
Et si les puces piquent (4),
Ils [se] grattent jusqu’au matin
Et jamais ils n’abandonnent.

6e couplet        
Lou matin, calon
E si venon poustà,
Lou matin, calon,
Si venon assetà.
Cerieia, pruna e poun
Jemplon lou bourdigoun.
Veguessias couma embalon !
Finda lu merilhoun
Entié s’avalon !
 Le matin, ils descendent
Et viennent se poster,
Le matin, ils descendent,
Ils viennent s’asseoir.
Cerises, prunes et pommes
Emplissent la bordigue (5).
Si vous voyiez comme ils « emballent » !
Même le noyau
Entier ils s’avalent !

7e couplet        
Su cada planta
Nidon lu passeroun,
Su cada planta
Audès lou siéu jargoun ;
Merlou e roussignòu,
La calàndra, que vòu
Imità coura canta,
Fa toute cenque pòu
Ma noun s’en vanta.
 Sur chaque plante
Nichent les passereaux,
Sur chaque plante
Entendez leur jargon ;
Merle et rossignol,
L’alouette, qui veut
[Les] imiter quand elle chante,
Fait tout ce qu’elle peut
Mais ne s’en vante pas.

8e couplet        
La merenjaina
Farcida esta bèn,
La merenjaina,
L’archicota tambèn ;
Ma pèr emplun li fòu
D’oli, de froumai, d’òu
Embé d’espècia fina,
Verdura, aietoun nòu,
Crousta en farina !
 L’aubergine
Farcie est bien,
L’aubergine,
L’artichaut aussi ;
Mais pour [la] farce il faut
De l’huile, du fromage, des œufs
Avec des épices fines,
Verdure, ail nouveau,
Croûte en farine !

Jean-Baptiste Toselli (cf. infra Bibliographie) a publié les 25 couplets suivants (non numérotés), dans une graphie italianisante :

couplets A, B, C : cf. supra n° 1, 2, 3.

couplet D        
Gioinome e fia
Aimon touplen l’oudou,
Gioinome e fia
Aimon touplen li flou ;
Tau fia un tulipan
Préféra avè davan,
Tau rosa au rosié bria
Che lou giove en passan
Se poù la pia.
 Jeunes hommes et filles
Aiment beaucoup l’odeur,
Jeunes hommes et filles
Aiment beaucoup les fleurs ;
Telle fille une tulipe
Elle préfère avoir devant,
Telle [une] rose au rosier brille
Que le jeune en passant
Peut la prendre.

couplet E : cf. supra n° 4.

couplet F        
Flora fa plassa
E rientra l’estieù,
Flora fa plassa,
Escoutàs sen che dieu :
D’uni si van bagnà,
D’autre van calignà,
E un pescadou che passe
Di, sensa malignà :
« Buon proun vou fasse. »
 Flore fait place
Et arrive l’été,
Flore fait place,
Écoutez ce que je dis :
Les uns vont se baigner,
D’autres vont courtiser,
Et un pêcheur qui passe
Dit, sans penser à mal :
« Que cela vous profite. »

couplets G, H : cf. supra n° 5, 6.

couplet I        
Lou pei abonda
E se lou gibiè non,
Lou pei abonda
E avès poulas, pigion,
Gallina, dindoneu,
Lou mouton, lou vudeu,
Trouvàs, s’anàs per ronda,
Limassa e cantareu
En cada bonda.
 Le poisson abonde
Et si le gibier non,
Le poisson abonde
Et vous avez poulettes, pigeons,
Poules, dindonneaux,
Le mouton, le veau,
Vous trouvez, si vous allez par [les] chemins,
Escargots et petits escargots (6)
Dans chaque bordure (7).

couplet J        
La frucia veira
Non nen fa plus beson,
La frucia veira
Non es plus de seson ;
Avès li figa-flou,
Verdala e abicou,
Belouna e doùcueira,
Che ieu aimi surtou
Cour fan la seira.
 Les fruits de la récolte précédente
Ne font plus besoin,
Les fruits de la récolte précédente
Ne sont plus de saison ;
Vous avez les figues-fleurs,
Les verdales et les abicò,
Les bellones et les doùcueira (8),
Que j’aime surtout
Quand elles font la draine.

couplet K        
Pomona arriva,
La frucia farà fen.
Pomona arriva
E sen alasseren ;
De raïn mouscateu
Iempleren lu budeu,
Mi fa già fà saliva,
Bella seson, fai leu,
Sies fuor tardiva.
 Pomone (9) arrive,
Les fruits feront du foin.
Pomone arrive
Et nous nous en lasserons ;
De raisin muscat
Nous [nous] emplirons les entrailles,
[Ça] me fait déjà saliver,
Belle saison, fait vite,
Tu es fort tardive.

couplet L        
Suorba, aserola
Son de tapa pertus.
Suorba, aserola
Fan anà embau fus.
Bernissoù negre e blan,
Pera de buon cristian
E pesseghe de cuola
Son de frui buoi e san,
Suivès l’escola.
 Les sorbes, les baies
Sont des bouche-trous.
Les sorbes, les baies
Font aller avec le fuseau.
Les bernisses (10) noires et blanches,
Les poires de bon chrétien
Et les pêches de colline
Sont des fruits bons et sains,
Suivez l’exemple.

couplet M        
Li a de bouscarla,
Piola e fournighié,
Li a de bouscarla
En tout lou cartié.
Ma se ven regalas,
Lu fou ciausì ben gras,
Avè la saladetta
Lesta, cour lu levas
Da la brocetta.
 Il y a des fauvettes,
Des sirlis et des fourmilières,
Il y a des fauvettes
Dans tout le quartier.
Mais si vous vous en régalez,
Il faut les choisir bien gras,
Avec la petite salade
Prête, quand vous les enlevez
De la brochette.

couplet N : cf. supra n° 7.

couplet O        
La matinada
Cu cassa emb’au fusieu,
La matinada
Cu embe l’arret de fieu,
Cu embe l’aubre en man
Percourre toui lu cian.
Cu va embe la viscada,
Ma ’s rar pià en passan
Una coupada.
 La matinée
Chacun chasse avec le fusil,
La matinée
Qui avec le piège en fil (11),
Qui avec l’arbre (12) en main,
Ils parcourent tous les champs.
Qui va avec le gluau,
Mais il est rare de prendre en passant
Une alouette cochevis.

couplet P        
Li a cu va tendre
L’esperença ai rigau,
Li a cu va tendre
De las ai animau :
Si cassa au trabuquet,
Au furet, au falquet,
Ma ni a che non si tiron
Che cour dintre un bousquet
Si retiron.
 Il y a celui qui va tendre
Le brai (13) aux rouges-gorges,
Il y a celui qui va tendre
Des collets aux animaux :
On chasse au trébuchet,
Au furet, au fauconneau,
Mais il y en a qui ne se tirent
Que quand, dans un bosquet,
Ils se retirent.

couplet Q        
Una serventa,
E la conouissi ieu,
Una serventa
Casset un merlo vieu ;
Despì che lou piet,
Despì che l’emaillet,
Li arrive che plante
Voù, dau sera au matin,
Che tougiou cante.
 Une servante,
Et je la connais, moi,
Une servante
Chassa un merle vivant ;
Depuis qu’elle le prit,
Depuis qu’elle l’empailla,
Il lui arrive qu’elle s’arrête,
Elle veut, du soir au matin,
Que toujours il chante.

couplet R        
O che riada !
Gianin va visità,
O che riada !
Una leca ch’avia fa :
Aussa plan lou malon,
Crès pià un passeron,
La man resta enviscada,
La sente e di : « N’hai pron,
N’hai fa giornada. »
 Oh, quelle rigolade !
Jeannot va visiter,
Oh, quelle rigolade !
Un piège qu’il avait fait :
Il soulève lentement la briquette,
Croit attraper un passereau,
La main reste engluée,
Il la sent et dit : « J’en ai assez,
J’ai fait ma journée. »

couplet S        
Laissen la cassa,
Lu autis gros e picion,
Laissen la cassa,
Li tana e lu bouisson ;
Ientren en lu giardin,
Veiren lou daissemin,
Flou, frui de touta rassa
D’audou, de gust fin
Migliou ch’en plassa.
 Laissons la chasse,
L’outillage gros et petit,
Laissons la chasse,
Les terriers et les buissons ;
Entrons dans les jardins,
Nous verrons le jasmin,
Les fleurs, fruits de toutes sortes
D’odeurs, de goûts fins
Meilleurs que sur la place [du marché].

couplet T        
Veiren de cardo,
Faioù e cougourdon,
Veiren de cardo,
D’espargo e de pebron ;
Caüles, raba, naveu,
De toumati a batèu,
Seba, ensien sauvage,
Cougombre e gnif beu,
Salada a rage.
 Nous verrons des cardons,
Des haricots et des cougourdons,
Nous verrons des cardons,
Des asperges et des poivrons ;
Choux, raves, navets,
Des tomates à foison,
Oignons, (...) sauvages,
Concombres et belles carottes,
Salades à l’abandon.

couplet U : cf. supra n° 8.

couplet V        
Parlen doù puorre
Che si cuei sensa fuec,
Parlen doù puorre
Devinas en che luec :
Doù rifuò che sen fa,
Coma l’accomodà ?
Lou sabi da ma suore
Di ch’en lou pissalà
Conven che muore.
 Parlons du porc
Qui se cuit sans feu,
Parlons du porc
Devinez en quel lieu :
Du radis qui s’en fait,
Comment l’accommoder ?
Je le sais de ma sœur.
Elle dit que dans le pissalat
Il convient qu’il meure.

couplet W        
Can lou Nor souffla
Rampounciou e spinas,
Can lou Nor souffla
Si foù soufflà lou nas.
De radicia souven,
De blea pou e ren,
S’adona a la tantifla
Acheu ch’es sensa argen
Per mettre gnifla.
 Quand le [vent du] nord souffle
Saisissant et piquant,
Quand le [vent du] nord souffle
Il faut se souffler le nez (14).
De salsifis souvent,
De blette peu et rien,
Il s’adonne à la pomme de terre
Celui qui est sans argent
Pour mettre [dans] la joue enflée.

couplet X        
Belli Baumetta,
Sies un picion Paris ;
Belli Baumetta
Sies un beù paradis.
Angles, Russo, Alleman
Da vou trovoun buon pan,
Buon vin en li bouteta,
Un clima dous e san,
Un suol ch’alleta.
 Belles Baumettes,
Vous êtes un petit Paris ;
Belles Baumettes
Vous êtes un beau paradis.
Les Anglais, les Russes, les Allemands
Par vous trouvent du bon pain,
Du bon vin dans les bouteilles,
Un climat doux et sain,
Un sol qui enjôle (15).

couplet Y        
O Pier d’Arena,
Lu vuostre enfan, si sau,
O Pier d’Arena,
Non soffron degun mau ;
Mantenelu gagliar,
Fes abondà la mar,
E vou rendes, Elena,
Lu vuostre urous doù par
E sensa pena.
 Ô Pierre d’Arène,
Vos enfants, on sait,
Ô Pierre d’Arène,
Ne souffrent [d’]aucun mal ;
Maintenez-les alertes,
Faites abonder la mer,
Et vous, Hélène (16), rendez
Les vôtres heureux
Et sans peine.

1. Ce quartier situé à l’ouest de Nice, entre Saint-Pierre-d’Arène et Sainte-Hélène, tire son nom de bauma (diminutif baumeta), grotte, caverne.
2. Flora (Flore) : déesse italique des Fleurs et des Jardins, en l’honneur de laquelle étaient célébrées les floralies ; ici, le printemps.
3. Ici, les moustiques, ou mouissaràssa (tipules).
4. Pità : becqueter, gober, happer, mordre à l’hameçon, prendre...
5. Du provençal bourdigo, « enceinte de claies, sur le bord de la mer, pour prendre ou garder du poisson » (Larousse). Ici, au sens figuré de bedaine, bedon.
6. Cantarèu ou tapé : petit escargot blanc, fréquent dans les oliveraies.
7. Bonda : le bord surplombant la faissa (la terrasse, la planche) inférieure d’un terrain.
8. Abicò, belouna, doùcueira, verdala : variétés de figues. La « bellone » est une grosse figue noire réputée, au dessus aplati et braietada, c’est-à-dire parcourue par des fentes superficielles qui rappellent celles des bràia (braies, ou pantalons).
9. Pomona (Pomone) : déesse grecque des Fleurs et des Jardins.
10. Bernissoù : une autre variété de figues.
11. Arret ou aret : sorte de filet d’oiseleur (du latin rete, filet). Cf. l’expression « prendre dans ses rets ».
12. Aubre : il s’agit ici d’un arbuste (naturel ou factice) dont les branches sont garnies de gluaux. Cette chasse s’appelait la « pipée », elle consistait à attirer les oiseaux – à l’aide d’un pipeau ou d’appeaux – sur l’arbuste pour qu’ils s’y prennent. Anà à l’aubret signifiait aller à la pipée. Dans son Dictionnaire français-niçois, Georges Castellana précise : « On connaît la chasse au jargoun (appeau en os ou en tôle, en forme de disque creux percé d’un trou) pour les grives à la fin de l’hiver ; la chasse au chìque (simple feuille de canne que le chasseur fait vibrer entre les lèvres) également pour attirer les grives ; la chasse au cant (le chasseur imite avec sa voix le chant des perdrix, ou bien le cri du rat pour attirer les merles). »
13. Esperença : brai (ou reginglette), résidu pâteux de la distillation de la houille ou du pétrole, utilisé – comme la glu ou la poix – sur des viscada (gluaux, petites branches frottées de glu) pour attraper les oiseaux. (Cette pratique – encore en usage au XIXe siècle – a, depuis, été interdite.)
14. Si foù soufflà lou nas : il faut se souffler le nez, c’est-à-dire se moucher.
15. Alletà ou aletà : affriander, aguicher, allécher, enjôler... (du latin alleciare).
16. Pier d’Arena, Elena : Pierre-d’Arène et Hélène, allusion aux saints éponymes des deux quartiers voisins des Baumettes.

Bibliographie
• Delrieu (Georges), Anthologie de la chanson niçoise, Nice, éd. Delrieu et Cie, 1960, p. 80-81.
• Tosan (Albert), Princivalle (Gaël) et d’Hulster (Frédéric), Anthologie de la chanson du comté de Nice, Nice, Serre éditeur, collection « Encyclopædia niciensis – Patrimoine régional », vol. III, 2001, p. 36-37.
• Toselli (Jean-Baptiste), Rapport d’une conversation sur le dialecte niçois, Nice, Ch. Cauvin, 1864, p. 120-122.
• revue Nice historique, Nice, n° 9, 1907, p. 141.

 
Discographie
• Collectage, Nissa vielha, réalisation Nux vomica.

 

Retour page musique - Haut

© 2001-2024 Jean-Gabriel Maurandi.


musiques traditionnelles du comté de Nice pour fifre et farandole


Si vous trouvez cette page intéressante, vous pouvez poser un lien vers elle. Simplement copier-coller le code ci-dessous dans votre site (Ctrl+C pour copier), ce qui donnera ceci :
Li Baumeta (Les Baumettes)

  Conception site jean gabriel maurandi, creation sites internet de musique  
 Li Baumeta (Les Baumettes)  Ce site respecte le droit d’auteur. Les titres proposés sont dans le domaine public. Leur réalisation est sous forme de séquencements dans des fichiers Midi et non sous forme de musiques originales ; ils ne sont ni interprétés ni produits par les artistes. Les droits des auteurs des œuvres encore protégées, reproduites sur ce site avec leur autorisation, sont réservés. Sauf autorisation, toute utilisation de la totalité du matériel multimédia mis à disposition sur le site « MTCN » autre que la reproduction et la consultation individuelles et privées est interdite.
Aucun animal n’a été maltraité pendant la conception de ce site internet. Cependant, j’ai mangé plusieurs fois de la viande.